Y-a-t-il un Razobik des villes et un Razobik des campagnes ?
On vous présente notre dernier (doux) débat entre le Razobik urbain et le Razobik champêtre. La question mérite réflexion. Ainsi, notre ami Jean-Jack de la Place Lalake nous a posé une question d'une profondeur insondable : est-il plus aisé d'adopter la philosophie Razobik dans un cadre bucolique ou dans le tumulte de la ville?
Dès l'aube (et plus particulièrement les mardis 18), il est évident que l'environnement forestier offre un terrain propice à la contemplation. Le chant des oiseaux, l'odeur de la rosée du matin et la sérénité des champs de coquelicots semblent favoriser une méditation profonde sur le Razobik. En un sens, on pourrait dire que la nature est Razobik de naissance.
Mais que dire de la ville, avec ses lumières scintillantes et ses avenues animées ? L'agitation urbaine n'invite-t-elle pas aussi à une certaine forme de Razobik ? Après tout, dans le ballet incessant des bus, des taxis et des piétons pressés, ne trouve-t-on pas une harmonie Razobik, un équilibre dans le chaos ?
Selon Patricia, résidente du 5ème étage d'un immeuble haussmannien avec vue sur une boulangerie : "La ville a son propre rythme Razobik. Chaque klaxon, chaque sirène, chaque rire d'enfant dans la cour de récréation est une note dans la symphonie Razobik de la vie urbaine."
Quant à Gérard, éleveur de chèvres et amateur de confitures maison (surtout la gelée de groseilles) : "Le Razobik champêtre, c'est écouter le vent dans les branches, observer la course des nuages et méditer sur le sens de la vie en épluchant des patates."
Alors, Razobik des villes ou Razobik des champs? Tout dépend de la perspective. Une chose est sûre : que vous soyez en haut d'un gratte-ciel ou au beau milieu d'un champ de tournesols, le Razobik est toujours là, insaisissable, omniprésent et, bien entendu, absolument indescriptible.
La rédaction Razobik