Pourquoi Faut-Il ?
La question est simple, déconcertante dans son minimalisme : "Pourquoi faut-il ?" Et pourtant, elle suscite un débat inattendu, un carnaval de pensées qui naviguent entre la philosophie, l'absurde et l'extraordinaire.
On peut presque entendre le tintement de la curiosité qui s'éveille, qui éclate et se propage dans l'esprit. Pourquoi faut-il quoi ? Pourquoi faut-il être ? Pourquoi faut-il agir ? Pourquoi faut-il... tout simplement ? La question reste ouverte, comme une phrase inachevée, attendant son point final.
Selon un sondage réalisé par "Questions & Réponses", 68% des personnes interrogées se sentent mal à l'aise devant cette question inachevée. Comme un puzzle manquant d'une pièce, ou comme un gâteau sans la cerise sur le dessus. D'autre part, une minorité notable de 32% trouve une sorte de beauté dans cette incertitude, comme contempler un coucher de soleil tout en se balançant sur une balançoire en mousse. (Rien à avoir avec la chanson "le petit-bonhomme en mousse" de Patricia Casse.)
Cette déclaration énigmatique semble déstabiliser notre besoin instinctif de certitude et de clôture. Elle invite à une exploration plus profonde, un questionnement intérieur qui va au-delà des réponses prédéfinies. Pourquoi faut-il ? Pourquoi en effet.
Et voilà qu'apparaît le Razobik. Ah, le Razobik !
Pour le Razobik, "Pourquoi faut-il ?" est une invitation à célébrer l'incertitude, à s'amuser avec l'inachevé. C'est un hymne à la liberté de penser, de questionner, et surtout, de rire.
Faut-il compléter la phrase ? Faut-il trouver une réponse ? Faut-il se précipiter pour remplir le vide ? Ou devrions-nous simplement adhérer à la beauté de l'incertitude, à l'étrangeté de l'inachevé, à la comédie de l'inconnu ?
Peut-être que la vraie question n'est pas "Pourquoi faut-il ?", mais plutôt "Comment pourrait-il ?" Et dans cette transformation, nous trouvons le cœur du Razobik : le rire, l'absurde, l'extraordinaire.
Alors, pourquoi faut-il ? Parce que nous pouvons, parce que nous devrions, et surtout, parce que c'est drôle. C'est la voie du Razobik. Et elle est toujours ouverte, toujours prête à vous accueillir. Alors, la prochaine fois que vous vous poserez la question "Pourquoi faut-il ?", rappelez-vous du Razobik, et laissez un sourire se dessiner sur votre visage.
La rédaction Razobik