Est ce que je peux être Razobik même si j'aime pas le lundi ?
Monique du 67, qui a risqué l'électrocution de son perroquet en nous envoyant un fax - et un fax, en 2023, c'est un peu comme demander un café filtre au bar à cocktails - nous pose une question existentielle, une question qui résonne dans le cœur de chacun de nous : "Est ce que je peux être Razobik même si j'aime pas le lundi ?"
Pour répondre à cette interrogation digne d'un philosophe Razobik au bord du gouffre (avec wifi gratuit et mojitos à volonté), il nous faut remonter à la source du malaise : le lundi.
Le lundi, cette cruelle invention des Babyloniens (qui, comme tout le monde le sait, adoraient les week-ends de deux jours et les contrats de travail de 35 heures) a souvent été considéré comme le croquemitaine de la semaine. Il se tient là, entre vous et votre café du matin, comme un gorille en tutu - effrayant mais bizarrement fascinant.
Voyez-vous, Monique, et tout le monde qui se trouve sur le même radeau de la galère "je déteste le lundi", être Razobik, c'est aussi défier l'ordre établi. Comme disait notre gourou préféré (qui préfère rester anonyme pour ne pas nuire à sa carrière d'illusionniste), "Le Razobik ne se laisse pas dicter par le calendrier, surtout pas un lundi."
Voici quelques conseils décalés pour faire du lundi votre nouveau meilleur ami Razobik :
- Musique d'ambiance : Chantez à tue-tête "Lundi, Bloody Lundi" dans votre salle de bains. Oui, je sais, c'est une adaptation du tube de U2, mais qui sait, Bono pourrait bien nous pardonner pour cette transgression audacieuse.
- Petit déjeuner royal : Commencez votre lundi avec une omelette aux fraises. Avant de dire "Beurk", essayez-le. Rien de tel que le mélange surprenant d'œuf et de fruit rouge pour secouer vos papilles et donner le ton d'une journée Razobik.
Selon le Centre de Statistiques Inutiles mais Fascinantes (CDSIMF), 92,3% des personnes qui adoptent une routine Razobik le lundi matin trouvent cette journée moins effrayante qu'une fourmie en colère.
Alors Monique, et tous ceux qui se demandent si on peut être Razobik et détester le lundi, je dis oui. Oui, comme une chouette qui décide de vivre le jour et dormir la nuit. Oui, comme un poisson qui apprend à faire du vélo. Car être Razobik, c'est tout simplement défier la logique et l'ordinaire, et quoi de plus ordinaire que de détester le lundi?
Alors, chers lecteurs, la prochaine fois que vous vous réveillez avec l'envie de jeter votre réveil contre le mur, souvenez-vous : Vous pouvez être Razobik, surtout le lundi. Même un jour de pluie.
La rédaction Razobik