Comment annoncer à vos proches que vous êtes Razobik ?

Ah, ce sentiment de se réveiller un beau matin et de se dire "Tiens, je suis Razobik." C'est un peu comme découvrir que vous parlez couramment l'ornithorynque. Mais une fois l'euphorie de la découverte passée, comment le révéler à vos proches sans provoquer une crise cardiaque ? Suivez le guide !

1. Le coup du théâtre : Imaginez une mise en scène digne d'une émission de téléréalité. Vous pourriez vous déguiser en croissant géant, lire un poème que vous avez écrit sur votre transformation Razobik tout en jonglant avec des carottes rapées. Le but est de susciter l'incompréhension totale, puis de révéler la vérité : "C'est ça, être Razobik."
2. Le banquet du Razobik : Préparez un repas entièrement composé de plats inversés : des spaghettis en forme de donuts, des steaks en forme de pommes et des gâteaux en forme de poissons volants. Quand ils vous demanderont pourquoi, répondez simplement : "C'est une soirée Razobik, chers convives !"
3. La confession énigmatique : Préparez-vous à leur lancer un "Je suis Razobik" au moment le plus inattendu, comme au milieu d'une partie de pétanque ou pendant que vous cherchez vos clés. Ils seront sûrement déconcertés, mais c'est justement ce qu'on recherche !
4. L'intégration linguistique subtile : Commencez à glisser des phrases en pur Razobik dans vos conversations. Quand ils vous demanderont pourquoi vous venez de déclarer "Razobik pour tout le monde", répondez simplement : "C'est mon nouveau moi, comme je suis Razobik, j'offre ma tournée!"
5. La méthode artistique : Transformez votre salon en jungle tropicale ou en paysage lunaire. Quand ils s'interrogeront sur la métamorphose, annoncez : "Bienvenue dans mon monde Razobik."

Le but ultime est d'aborder votre annonce avec autant de sérieux que si vous annonciez que vous avez décidé d'adopter un flamant rose nommé Gertrude. La clé, c'est d'embrasser l'absurdité et de l'injecter dans chaque interaction. Et qui sait, vous pourriez même réussir à convertir certains de vos proches au Razobik !

La rédaction Razobik